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Notre Dame de l'Assomption

Située sur le port de la Ciotat, les travaux d’agrandissement de l’église primitive ont débuté en 1603 et ont pris fin en 1625.

En 1678, l’église a été consacrée sous le nom de « Notre Dame de l’Assomption ».

En 1972, de modification lui ont été apporté dans un style roman.

En 1881, l’abbé Paranque envisage une restauration complète du bâtiment. Pierre Bossan, architecte de Notre Dame de Fourvière à Lyon en sera chargé.  

 

La réparation du clocher commence en 1889. Entre 1972 et 1977, il y aura la restauration des structures ainsi que la rénovation des façades. 

 

Au niveau architectural, elle est du style roman. On le voit avec les voûtes et les ouvertures en demi-cercle, les contreforts extérieurs, ses murs et ses piliers massifs. 

A l'intérieur de l'église se trouve aussi des statues (st Antoine, St François, Notre Dame de l'Assomption, Notre Dame de Bon Voyage), une fresque et des tableaux dans lequel on y retrouve le différents points marquant dans l'histoire de la ville,

Parmi ces chefs d'œuvres, plusieurs cachent toute une histoire. C'est le cas du Jésus en croix que vous pouvez voir au fond de l'église. 

Voici l'histoire de ce crucifix aussi appelé le Christ de l'île verte: 

C’est l’œuvre de Jean de Bologne, architecte flamand qui s’est installé à Florence. La statue est arrivée en 1821 à La Ciotat.  D’abord placé à l’île verte au niveau de la Chapelle Saint Pierre, elle connaitra bien des péripéties. Elle fus brulé 2 fois sur une croix en bois. Maintenant elle est sur une croix en métal (style « eyffelien »). A la seconde guerre mondiale, les allemands, le détrônèrent. Suite aux bombardements, cette statue s’est brisé et a disparu jusqu’à sa découverte par des plongeurs démineur après la guerre pour a remettre au musée de La Ciotat. En 2002, l’architecte Rurik Bounatian-Benatov, fût saisi par ce Christ en morceau et décide avec l’accord du maire, Patrick Boré, de la restaurer. Etrangement, un étrange procédé c’était produit avec une modification de la fonte du au bombardement. C’est ce qui a protégé la sculpture de l’érosion. Et en 2005, Rurik Bounatian-Benatov, a restitué le Christ à l’église de Notre Dame à La Ciotat.  

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